Zones d’activités économiques et industrielles
Créer, gérer, étendre
L'Agglo est en charge de la trentaine des parcs d'activités du teritoire, dont 14 en gestion directe.
Requalifier et dynamiser
À une gestion quotidienne des zones d’activités économiques et industrielles, à laquelle les services techniques de l'Agglomération apportent leur concours, s’ajoute une réflexion plus large sur la requalification des parcs d’activités. Certaines zones anciennes, devenues moins fonctionnelles et attractives, font l’objet de projets de redynamisation et de requalification :
- Création d’une nouvelle traversée piétonne à Pariest, réorganisation des stationnements poids lourds et véhicules légers et préparation de l’implantation de l'enseigne Grand Frais.
- La requalification des ZI Jean-Cocteau à Pontault-Combault et de la Trentaine à Chelles.
Aménager de nouvelles zones
C’est l’autre volet des missions dévolues à l’Agglomération : entretenir, créer et aménager les zones d’activités. Des travaux sont en cours :
- L’extension de la ZAC de la Tuilerie à Chelles, sur 2,2 hectares où les premiers bâtiments sont en construction et 5 000 m² restant à commercialiser.
- La ZAC de la Régale à Courtry où la création d’un parc d’activité de 15 hectares est programmée avec, en parallèle, l’acquisition du foncier par un aménageur.
Des projets sont également à l'étude :
- La révision du Plan local d’urbanisme (PLU), en cours à Pontault-Combault, devrait permettre l’extension sur 17 hectares du parc d’activité de Pontillaut sud et la zone NI Jean-Cocteau sur 10 hectares.
- La ZAC du Gué de Launay à Vaires-sur-Marne, où une première tranche de 7 hectares est en projet sur une surface totale de 12 hectares.
De son côté, l’ÉpaMarne envisage la création d’un nouveau parc d’activités de plus de 40 hectares à Croissy-Beaubourg.
Au total, ce sont donc près de 100 hectares de parcs et zones activités qui devraient voir le jour dans les prochaines années à Paris – Vallée de la marne.
Le dynamisme de l'immobilier d'entreprise
C’est l’autre tendance favorable de notre territoire : la dynamique retrouvée de l’immobilier d’entreprise. En 2016, 205 transactions ont été enregistrées pour près de 124 000 m² de locaux d’activité et 24 000 m² de bureaux. À la fin du 1er trimestre 2017, les stocks de bureaux et de locaux disponibles – soit 4 % du parc immobilier total - ont diminué de moitié en un an. Depuis ces six derniers mois, plusieurs projets de construction sont en passe d’être livrés, représentant quelque 23 000 m².